tag:blogger.com,1999:blog-25607354390359714122024-03-19T10:08:48.787-07:004ptsdesuspensiontiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.comBlogger41125tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-29912604114687289442021-05-07T08:24:00.001-07:002021-05-07T08:24:00.176-07:00Gatsby le Magnifique, Francis Scott Fitzgerald<p>
</p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: small;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvdtFwta72U7nDm3kNsjUc_wwJwdtQklfncIJGPXgnd3GuDQ7P2NqZH7Tb-bIHIIvjP34Dxp3Dci8UHU6n0S-A7HOT0LX-NMGBgAWCtpFjSxIKQb7ZSZ2s4i_I-VzzslDzZs5L2-N0a0FO/s488/gatsby.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="488" data-original-width="372" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvdtFwta72U7nDm3kNsjUc_wwJwdtQklfncIJGPXgnd3GuDQ7P2NqZH7Tb-bIHIIvjP34Dxp3Dci8UHU6n0S-A7HOT0LX-NMGBgAWCtpFjSxIKQb7ZSZ2s4i_I-VzzslDzZs5L2-N0a0FO/s320/gatsby.JPG" /></a></span></div><span style="font-size: small;"><br />C'est
sur la Côte d'Azur, où le succès de son premier roman, </span><p></p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">L’Envers
du Paradis (1920), lui a permis d’immigrer, que Francis Scott
Fitzgerald écrit Gatsby le Magnifique. Son ami Ernest Hemingway, qui
a lu le manuscrit à la terrasse de La Closerie des Lilas, est
enthousiaste. Maxwell Perkins, des éditions Scribner's, qui publie
Fitzgerald depuis ses débuts, aussi… et promet à Gatsby un futur
glorieux. Le roman paraît en 1925. Malgré de bonnes critiques, les
lecteurs se montrent frileux et les ventes du livre ne décollent pas
: sur les 75 000 ventes escomptées, moins de 24 000 exemplaires
furent vendus jusqu'à la mort de l'auteur en 1940 ! L’année même
de sa publication, le livre est retiré des étals des libraires,
faute de public. </span></p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Le roman tombe peu à peu dans l’oubli malgré une
réédition en 1934. Les années 1950 le remettront à l’honneur,
pour de bon cette fois ! </span></p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Gatsby le Magnifique est aujourd’hui
considéré comme l'un des romans les plus importants de la
littérature américaine du XXe siècle.</span></p>
<p> <br /></p><p> </p>tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-5247354072967791962021-04-16T08:27:00.001-07:002021-04-16T08:27:00.745-07:00Les Liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos<p>
</p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">La
véritable révolution, en tous les domaines, est celle accomplie
durant le siècle des Lumières. Révolution dans les alcôves et
dans les bibliothèques, où la littérature libertine envahit le
champ du littéraire.<br />Dans les années 1945-1950, la faveur des
Liaisons dangereuses, météorite au ciel des lettres françaises,
vient de ce que l’on approche le libertinage sous l’angle de la
libération politique et sexuelle. Engouement qui vérifie
l’intuition baudelairienne selon laquelle « la révolution a été
faite par des voluptueux ». La voluptueuse marquise de Merteuil,
révolutionnaire en jupons, est aussi complexe que son alter ego
masculin, le roué Valmont : celle qui, dans la lettre LXXXI, expose
ses règles et ses principes ne serait-elle que « libertine et
calculatrice » ? Elle incarne une certaine posture féministe avant
l’heure, elle qui refuse d'être mangée à la même sauce que la
couventine Cécile Volanges ! Sa chute, elle la doit tout autant à
l'amour qu'elle éprouve pour Valmont qu'à l'amour-propre qui l'a
fait mener une guerre des sexes sans trêve ni pitié. Et Laclos s'y
connaît en plans de bataille, lui qui a combattu aux côtés de
Vauban : sous sa tente militaire, il écrivait à sa femme, jeune
maman, des lettres sur l'éducation à donner aux jeunes filles ! </span></p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Cette machine infernale qu’est le roman de Laclos ne mène pas
uniquement au délétère de la mort, assumée ou symbolique : cinq
ans après la publication de l'ouvrage, 1789 saura rappeler que les
littérateurs sont d'abord des visionnaires, avec leurs « théâtres
de la cruauté ».</span></p>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-47340433582807515642021-03-02T08:23:00.001-08:002021-03-02T08:23:03.198-08:00Fermina Márquez, Valery Larbaud<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"> <span style="font-size: small;">Valery
Larbaud parlait l’anglais, l’allemand, l’italien et l’espagnol.
Il a fait connaître les grandes œuvres étrangères : celle de
Samuel Butler, dont il fut le traducteur, ainsi que celle de James
Joyce dont il fut le correcteur-superviseur pour la traduction
d'Ulysse. Pourtant, son œuvre littéraire est longtemps restée
cantonnée à un public confidentiel. </span></p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">En 1911, ce roman
autobiographique qui évoque le vert paradis des amours enfantines
obtient toutefois quelques voix au Goncourt.</span></p>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-80214406160097573522021-02-06T08:18:00.002-08:002021-02-06T08:22:57.033-08:00Le Chardonneret, de Donna Tartt<span style="font-size: small;"><b><a href="https://www.lespetitspasdeioannis.com/produit/le-chardonneret-de-donna-tartt/">Le Chardonneret, de Donna Tartt</a></b> est magnifiquement écrit. il est tout ce que
vous espériez qu'il soit : des personnages aussi compliqués et
nuancés que de vraies personnes. des situations alternativement
belles et sombres. une histoire qui se resserre à mesure que vous
approchez de la ligne d'arrivée, vous déchirant en deux parties
"doit découvrir ce qui se passe" et "doit lire
lentement ou ce sera fini trop tôt.</span>
<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
</p>
<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: small;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYnVflqf1xU2h3ltLkMvFM8av7eYZalFJAR_VPzXYk6z9ghSY1RrmBpJjjOMZB5ToLxvG1DTDiSbItN5Qwz3K3ymVHgazgSMnWltbUBDkcbuPUyrEJCqPBlP7jb5jczc7NDFE9KKVdsQLK/s270/le+chardonneret.JPG" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="270" data-original-width="191" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYnVflqf1xU2h3ltLkMvFM8av7eYZalFJAR_VPzXYk6z9ghSY1RrmBpJjjOMZB5ToLxvG1DTDiSbItN5Qwz3K3ymVHgazgSMnWltbUBDkcbuPUyrEJCqPBlP7jb5jczc7NDFE9KKVdsQLK/s0/le+chardonneret.JPG" /></a></span></div><span style="font-size: small;"><br />J'ai
lu le synopsis du livre à peu près dès qu'il a été annoncé,
puis j'ai soigneusement oublié ce qu'il disait, parce que je ne
voulais rien avoir en tête en le lisant. Je voulais une découverte
complète. Et
la copie du synopsis a été très prudente dans ce qu'elle a révélé.</span><p></p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Voici les thèmes couverts par Le Chardonneret : Philosophie,
histoire de l'art, baccarat, héroïne. Proust, les brutes de
l'enfance, les trafiquants de drogue russes. La coupe d'un bijou, le
jeu de lumière à travers un store tordu. La façon dont un petit
chien se souvient de quelqu'un qu'il n'a pas vu depuis dix ans. La
façon dont les très riches gèrent la maladie mentale dans la
famille. La façon dont un adolescent se sent après avoir pris de
l'acide pour la première fois. Les liens entre les gens qui durent
toute une vie, plusieurs vies. Le pouvoir de l'art de changer une
vie, de changer un million de vies ; l'immortalité d'une œuvre
d'art et la ligne de beauté qui relie les générations
d'appréciateurs. Ce que l'on ressent lorsqu'on est toujours amoureux
de la mauvaise personne, et à quel point elle est parfaite et
imparfaite, ou qu'elle l'est tout de même. La façon dont les gens
vieillissent. La façon dont les gens s'accrochent les uns aux autres
dans les moments les plus inopportuns, de la façon la plus
improbable. La façon dont les gens parlent, mon Dieu, il y a un
personnage russe (probablement le meilleur personnage du livre) qui a
appris à parler anglais en Australie et vous pouvez vraiment
entendre ce putain d'accent incompréhensible, le contretemps des
verbes mal conjugués dans les bonnes manières, le rejet des mots
d'argot dans quatre langues différentes, si désinvolte et si
parfaitement approprié. La vie est faite de récurrences, de
cercles, d'ouvertures et de retraits. </span>
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;"></p>
<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
</p>
<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">par
exemple, il y a quelque chose qui est annoncé au début du livre :
une des Très Grandes Choses qui se passe dans la vie. et la scène
qui culmine dans cette Très Grande Chose est atroce. d'une bonne
manière. vous savez ce qui va se passer, mais vous ne savez pas
quand, ni comment, et il y a une tension si délicieuse et vous
attendez que l'autre chaussure tombe, vous émerveillant à la fois
de sa prose, et de sa capacité à vous taquiner pendant tout ce
chapitre d'ouverture. merveilleux.</span></p>
<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
</p>
<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Et
puis après ça, il y a encore 700 pages de merveilleux.</span></p>
<p> <b>Le Chardonneret</b>, de Donna Tartt, Editeur : Plon , 2014, 909 pages</p>tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-33416204740148588152021-01-15T08:09:00.001-08:002021-02-06T08:11:41.049-08:00L’Écriture ou la vie, Jorge Semprún<p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"> <span style="font-size: small;">En
septembre 1943, Jorge Semprún est arrêté par la Gestapo et, après
un séjour à la prison d'Auxerre, il est déporté au camp de
concentration de Buchenwald. Après trente ans « d’amnésie
volontaire », selon ses dires, paraît L'Écriture ou la vie, qui
mêle son autobiographie à la sortie des camps et une réflexion sur
la difficulté de raconter l’expérience de la déportation. </span></p><p align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Il
reçoit le Prix de la paix des éditeurs et libraires allemands et le
Prix Fémina Vacaresco, puis, en 1995, le Prix littéraire des droits
de l'Homme et le prix de la ville de Weimar. À un journaliste qui
l’interroge en 2005 au sujet de la commémoration de la libération
des camps, Semprun répond : « Le lien social est fait de rituels
inévitables. Ce qui m’énerve beaucoup dans les commémorations,
c’est ce côté "plus jamais ça". Il faudrait inverser
les choses. Plutôt que de parler des crimes de Hitler, parlons de la
xénophobie actuelle, des crimes racistes. </span></p><p><span style="font-size: small;">La vraie commémoration,
au sens profond et noble du terme, c’est celle que propose Zoran
Music, un des seuls grands peintres de la déportation qui,
retravaillant les dessins clandestins qu’il a faits à Dachau,
intitule son exposition Nous ne sommes pas les dernier</span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: small;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFfNLeu3-3Y3qljOMKjL66idgCaveV2qAG4-jNlo_ZEi15Eip40pHWCRNcP5KnmOVZY-_nA5RI4kXGjY8qZyBsRWwhHO7SPtBflfovYehRZOG65kz8Y-PbRClXOgLpoXUCIryOvtPSpS89/s446/l%2527%25C3%25A9criture+de+la+vie.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="446" data-original-width="307" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFfNLeu3-3Y3qljOMKjL66idgCaveV2qAG4-jNlo_ZEi15Eip40pHWCRNcP5KnmOVZY-_nA5RI4kXGjY8qZyBsRWwhHO7SPtBflfovYehRZOG65kz8Y-PbRClXOgLpoXUCIryOvtPSpS89/s320/l%2527%25C3%25A9criture+de+la+vie.JPG" /></a></span></div><span style="font-size: small;"><br />s. »</span> <br /><p></p>tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-44391259190921429422020-11-22T08:29:00.000-08:002020-11-22T08:29:02.418-08:00Ronde de nuit de Sarah Waters<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgP9PNJu1XFjk3MKEEe1lMEadnJdJXo63K5pp6nQJkkZRNxeuQLhhfrfALn1p9tfISO5g6nAt_1PuQoSRLsArXRu7d5ctwpYcBgAgas5g_f2XZtdJmOlhkBmHnPZ63LBXH0_ckEOsrawWwB/s1600/nuit.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="333" data-original-width="221" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgP9PNJu1XFjk3MKEEe1lMEadnJdJXo63K5pp6nQJkkZRNxeuQLhhfrfALn1p9tfISO5g6nAt_1PuQoSRLsArXRu7d5ctwpYcBgAgas5g_f2XZtdJmOlhkBmHnPZ63LBXH0_ckEOsrawWwB/s320/nuit.JPG" width="212" /></a></div>
Loin des stéréotypes
sur les années de guerre, Sarah Waters nous livre avec ‘Ronde de
nuit’ une aventure haute en couleur et au-delà de toutes nos
espérances. En effet, avec son quatrième roman, l’auteur anglaise
remonte le temps de la Seconde Guerre mondiale à travers le parcours
de quatre personnages atypiques. En 1947, l’auteur commence par
nous poser le décor d’un Londres en pleine reconstruction et nous
décrit ce que sont devenus Kay, Helen, Viv et Duncan après six
années de guerre ininterrompues, comme l’aboutissement de quelque
chose, le calme après la tempête. Et c’est justement cette
tempête que l’on va remonter de 1947 à 1941, comme autant de
souvenirs heureux ou malheureux, d’expériences vécues qui leur
ont permis de forger ce qu’ils sont devenus.</div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br />
Au fil de ces
destins croisés et de ce décompte à rebours, Sarah Waters emmène
le lecteur dans une aventure riche en rebondissements, où tous les
méandres de l’âme humaine sont explorés. L’amour, l’amitié,
la joie, la douleur en passant par les tromperies et les déchirures
sont autant de sentiments qui habitent nos quatre protagonistes.</div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br />
Par
une écriture fluide et un style captivant, l’auteur immerge, comme
par empathie, le lecteur dans la vie de ces personnages. On reste en
apnée, impatient de découvrir leur passé respectif. Difficile de
décrire ce que l’on ressent en refermant ce livre tellement il
nous submerge par ses dialogues et ses descriptions de décors
apocalyptiques. On a tout simplement envie de remercier Sarah Waters
d’avoir réussi à nous transporter, nous faire vibrer et voyager,
le tout en un seul et volumineux roman d’amour et d’aventures. </div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
</div>
<i><b>Ronde de nuit de Sarah Waters </b></i>, Editeur : <b>10/18, 2007</b><br />
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-8494984054239533932020-10-07T08:27:00.000-07:002020-10-07T08:27:02.373-07:00Avis sur : Mon coeur tout seul ne suffit pas, de Mathieu Lindon
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxXFSh-2DiU4PeU-8gTorVtEbp7hlWITiWJNw_Fn1WdUlCzpbcdTvBrVA8pmfoTAFiA3m53PGGbK9JJ0ma5ynUNutNUItJgQsaqI7FxwIT5JT2r0HxMf3G0Y2fJQf2cUK2lwkBw5gHr-n7/s1600/lindon.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="355" data-original-width="228" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxXFSh-2DiU4PeU-8gTorVtEbp7hlWITiWJNw_Fn1WdUlCzpbcdTvBrVA8pmfoTAFiA3m53PGGbK9JJ0ma5ynUNutNUItJgQsaqI7FxwIT5JT2r0HxMf3G0Y2fJQf2cUK2lwkBw5gHr-n7/s320/lindon.JPG" width="205" /></a></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
Editeur :
<b>P.O.L</b><br />Publication :<b>3/1/2008</b>
</div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
Mathieu Lindon dispose
d’un incontestable talent pour appâter le lecteur. L’intrigue de
départ de ‘Mon coeur tout seul ne suffit pas’ - titre déjà
séduisant de poésie - ne manque en effet ni de charme ni de
mystère. Le narrateur, qui n’est autre que Mathieu Lindon
lui-même, reçoit une lettre post-mortem d’un meilleur ami dont il
n’a aucun souvenir. L’étrangeté d’une telle entrée en
matière est agréablement nourrie par le style de l’auteur, subtil
et coloré, parfois tortueux, toujours parfaitement adapté au récit.
Une étrangeté pas démentie non plus par l’enquête “délirante”
(au sens propre et figuré puisque la fièvre malmène Mathieu) de
l’auteur au sein de la famille éternellement reconnaissante de
l’ami inconnu.</div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br />Atmosphère lourde, rebondissements incongrus,
personnages surréalistes comme ces enfants de 7 ans qui parlent et
se comportent en adultes : toutes les pièces semblent réunies pour
enchanter cet inquiétant pays des merveilles. Tout du moins au fil
des premières pages… Malheureusement, la jolie montagne a tôt
fait d’accoucher d’une souris, certes attendrissante mais
décevante. Au lieu de s’emballer, le scénario ronronne et tourne
peu à peu à vide pour déboucher sur un dénouement frustrant.
Reste tout de même la maestria de Lindon qui joue de ses thèmes
fétiches. </div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.persee.fr/doc/chris_0753-2776_1999_num_61_1_2112_t1_0112_0000_1" target="_blank">L’auteur condamné du ‘Procès de Jean-Marie Le Pen’</a>
montre ici du doigt l’absurdité d’un racisme gratuit. Surtout,
le chroniqueur de <i>Libération</i> réjouit en “critique
langagier”, procédant avec les abus de vocabulaire comme avec des
indices pour démêler son enquête. Plaisant mais, à dire vrai,
cela ne suffit pas.
</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-76740470244632433832020-08-15T08:25:00.000-07:002020-08-15T08:25:02.195-07:00ritique du roman Michel Kohlhaas de Kleist
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxt7-q-mWOomsYNoCSGpJd-VSpLQUjm8iQvI0Kb72Die6e7UHN0r5lNnRYBtMUo3D-TgE7I4aG7hJ0VgzD5G3bet2aXRw1Zgcecvvcg3XRY8ULHPxJ-K94GPLc1yB2U5tJzx4OOHfbthNY/s1600/michel.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="329" data-original-width="216" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxt7-q-mWOomsYNoCSGpJd-VSpLQUjm8iQvI0Kb72Die6e7UHN0r5lNnRYBtMUo3D-TgE7I4aG7hJ0VgzD5G3bet2aXRw1Zgcecvvcg3XRY8ULHPxJ-K94GPLc1yB2U5tJzx4OOHfbthNY/s320/michel.JPG" width="210" /></a></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial;">Kleist
(1777 - 1811) a écrit ici un roman à plusieurs niveaux de lecture.
Son style rapide, direct, parfois haletant, nous invite à suivre
d'abord l'histoire d'une vengeance. Un homme paisible et heureux
subit une injustice qui le blesse profondément. Pris d'une folie
justicière, il sème la terreur chez ceux qui l'ont offensé, mais
aussi chez tous ceux qui se trouvent sur son passage.<br /><br />Ces
actes vengeurs, qu'il devra d'ailleurs répéter, ne l'apaisent pas.
Le récit suggère alors une seconde lecture : la vengeance n'est pas
la justice. Elle est un cri d'appel vers cette justice. Ce que <b>Michel
Kohlhaas </b>espère, attend, c'est qu'elle lui soit rendue, même
symboliquement. Il sait d'ailleurs que ses propres actes sont
injustes et que si justice il y a, quelque part, il aura à rendre
compte. Il accepte cela paisiblement, comme la fin du récit le
montrera.<br /><br />La troisième lecture me semble être celle d'une
proposition tragique, que nous soumet Kleist : dans le monde des
hommes, il ne peut y avoir de justice qu'intimement mêlée aux
autres passions et aux autres intérêts. Et que l'horreur de la
vengeance devenue folle n'est peut-être qu'un moyen, le seul, pour
rendre un équilibre à la balance de ces passions et de ces
intérêts. Le dieu de la bible, cette invention des hommes, dit-il
autre chose, lorsqu'il convoque l'apocalypse pour rendre, enfin,
justice ? Qu'en avait-il besoin, lui qui peut tout ?<br /><br />Cette
proposition tragique est d'une actualité extrême. Car notre monde
génère sans fin l'injustice, de la naissance à la fin. Et le
savoir a donné aux hommes blessés des moyens inouïs d'attirer sur
eux le regard des autres par des actes terribles qu'il faut aussi
comprendre comme des appels au secours. Ils n'attendent rien de leur
vengeance d'autre que ce qu'ils pensent être la justice qui leur est
due. Il y a quelque chose de cela au Moyen-Orient actuel. Le bruit
des armes, des représailles et des contre-représailles n'est que
musique de fond d'un opéra à l'intrigue absconse que certains
acteurs semblent ignorer. Pour combien de temps encore ?<br /><br />Un
excellent livre. </span><br /><br /><span style="font-family: Arial;">Editions GF -
Flammarion (1992) - 190 pages dont 37 d'introduction.</span>
</div>
<br />
<br />tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-64085820360785681292020-06-27T08:20:00.000-07:002020-06-27T08:20:01.410-07:00Avis sur : Les particules élémentaires de Houellebecq<div align="JUSTIFY">
<span style="font-family: "arial";"> </span>
</div>
<div align="JUSTIFY">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9ohldJFB1IYLjyLyC7ghFjISVbNAe4UfysCJ209O-xweh6XrE5RxFPj_RGRNUjssRq5AwHCbro0FlnW8QNwdVriKOdAgYw9RhqziXxeYrWo72Zzsfs0tTxb2wmqo318A90sdeZOeKzejA/s1600/particules.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="240" data-original-width="145" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9ohldJFB1IYLjyLyC7ghFjISVbNAe4UfysCJ209O-xweh6XrE5RxFPj_RGRNUjssRq5AwHCbro0FlnW8QNwdVriKOdAgYw9RhqziXxeYrWo72Zzsfs0tTxb2wmqo318A90sdeZOeKzejA/s1600/particules.JPG" /></a></div>
<span style="font-family: "arial";">Après avoir lu ce chef d'œuvre, mais sans connaitre encore "<a href="https://www.les-lubies-de-ludi.com/plateforme-de-michel-houellebecq/" target="_blank">plateforme</a>" à venir,
j'ai du mal à dormir ! Des événements si graves s'y sont déroulés,
devant moi ; et je n'ai pas pu aider Michel à bander mieux, ni Bruno
à bander moins. Ah, que l'on se sent petit, modeste, inutile en un
mot devant de tels drames !</span></div>
<div align="JUSTIFY">
<span style="font-family: "arial";">Et toute cette science que l'on
étale devant moi, pauvre mortel ignorant ! Une révolution
biologique, mais si Madame Michu ! Comment ne pas se sentir nul
devant tant de grandeur, de génie !</span></div>
<div align="JUSTIFY">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY">
<span style="font-family: "arial";">Foutaise scientiste aux relents
de Diafoirus ce livre de <b>Houellebecq </b>se moque à la fois de ceux qui ne comprennent
pas les mots employés et de ceux qui travaillent dans ce domaine
scientifique. Illusion romantique du génie (incompris, bien sûr,
mais que l'avenir reconnaîtra...), décalage total par rapport aux
mœurs de recherche. Et tout cela sur un ton si docte, si
prétentieux. </span>
</div>
<div align="JUSTIFY">
<span style="font-family: "arial";">Mais pour plaire, MH a trouvé le
truc : étaler crûment les mœurs sexuelles de soixante-huitards
attardés. C'est là que réside le succès immérité de ce livre,
qui parle ainsi aux voyeurs qui sommeillent en chacun de nous, en se
donnant un air intellectuel. Racolage, rien de plus.</span></div>
<div align="JUSTIFY">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY">
<span style="font-family: "arial";">Triste livre et triste succès.</span></div>
<div align="JUSTIFY">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY">
<span style="font-family: "arial";"><i><b> Les particules élémentaires</b> de Houellebecq , Editions Flammarion - J'ai Lu
(1998)</i></span></div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-5180072291136361732020-05-01T08:15:00.000-07:002020-05-01T08:15:05.250-07:00Tu chercheras mon visage de John Updike
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhmF0Ta3f8a2X8wjM9_b_UMWvH3ifsmw2agisfx9VhuuUQIwyzBYlttpGjNPvheKZd8YvRVzd4-Idtrif2nb7YzDasyPtaphK9VspIJCSt-_6ktDSLCx1tkxHYmRFjG6xcNAh-OGWg0obj/s1600/visage.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="313" data-original-width="199" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhmF0Ta3f8a2X8wjM9_b_UMWvH3ifsmw2agisfx9VhuuUQIwyzBYlttpGjNPvheKZd8YvRVzd4-Idtrif2nb7YzDasyPtaphK9VspIJCSt-_6ktDSLCx1tkxHYmRFjG6xcNAh-OGWg0obj/s1600/visage.JPG" /></a></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
C’est l’histoire
d’une visite. Celle faite par Kathryn, jeune journaliste pressée,
à Hope, artiste octogénaire fatiguée, deux fois mariée à de
célèbres peintres américains. L’interview durera toute une
journée, le temps pour la vieille femme de remonter le fil d’une
vie bien remplie, le temps pour nous de découvrir l’effervescence
du milieu artistique des années 1950 à 1970, au sortir de la
guerre, et à l’aube de l’ère postmoderne. Personnage fictif,
entre Lee Krasner et Helen Frankenthaler, respectivement femme et
disciple de <a href="https://es.wikipedia.org/wiki/Jackson_Pollock" target="_blank">Jackson Pollock</a>, Hope est bouleversante de fragilité,
admirable de pugnacité. En lui prêtant sa voix, John Updike livre
sa vision de deux courants majeurs de l’art américain, représentés
chacun par un mari de son héroïne : Zack McCoy, alias Pollock, pour
l’expressionnisme abstrait, et Guy Holloway, sorte de condensé
d’artistes, dont le nom n’est pas sans rappeler celui du père du
terme pop art, Lawrence Alloway.</div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br />Mais au-delà de son intérêt
pictural, ‘Tu chercheras mon visage’ brille par ses qualités
littéraires. C’est un huis clos habile, dans lequel s’enchaînent
dialogues, souvenirs et descriptions. Les questions invariablement
éludées de Hope et l’obstination ennuyée de Kathryn en font un
exercice de style réussi, un jeu de pouvoir aussi, ou les âges
s’affrontent à l’ombre de l’admiration et de l’envie. Les
phrases parfois interminables peuvent déconcerter et les théories
artistiques sembler un peu opaques, on se laisse tout de même
prendre à l’intimité de cette rencontre, savamment orchestrée
par <b>John Updike.</b></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br />Et ce grand monsieur de la littérature
américaine de faire la nique aux jeunes loups des lettres
américaines, en démontrant une fois de plus l’incroyable
modernité de sa prose pétillante, élégante et pétrie d’humanité.
</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-33751155622567021962020-03-03T07:52:00.002-08:002020-03-03T07:52:49.374-08:00Chroniques de Jérusalem de Delisle<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSCWtCAg2D7CiQttSuxH1ioB1b2fIAWAZDTQpZR6Iaq4-naH3YK0XzXu9SgmJ8gqFNLmpoKheRxQagsfcb067iyGjuyPS5ummmJ9BNIKrlTaiSkguAvNVLEaccNglQpXzGsPyywXOMrXVj/s1600/chroniques-de-jerusalem.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="306" data-original-width="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSCWtCAg2D7CiQttSuxH1ioB1b2fIAWAZDTQpZR6Iaq4-naH3YK0XzXu9SgmJ8gqFNLmpoKheRxQagsfcb067iyGjuyPS5ummmJ9BNIKrlTaiSkguAvNVLEaccNglQpXzGsPyywXOMrXVj/s1600/chroniques-de-jerusalem.JPG" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: small;">Sa femme travaillant pour Médecin Sans Frontière, la famille <strong>Delisle</strong>
part pour un an en Israël, sa femme. Cette petite famille se retrouve
donc en plein milieu de d’un lieu chargé d’histoire. Ils arrivent de
nuit et après une nuit plutôt agitée dans leur nouveau logement qui est
un appartement, le dessinateur va faire un tour dehors avec sa fille et
la poussette pour découvrir les lieux. Sa phrase au retour de cette
promenade donne le ton du livre « ça surprends … ». Il se transforme
donc par la force des choses en « homme à la maison » puisque sa femme
travaille, mais pas lui. Cette petite famille va donc s’adapter à cette
nouvelle vie, découvrir un nouveau lieu et une nouvelle façon de vivre. </span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: small;"><strong>Chroniques de Jérusalem </strong>est
découpé en 12 chapitres, un chapitre par mois ou l’auteur va, à travers
la bande dessiné se mettre en scène et raconter la vie d’expatrié. </span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: small;">C’est avec beaucoup d’humour qu’il nous raconte son adaptation à la vie
Israélienne et qu’il va tenter de nous expliquer l’un des lieux le plus
chargé d’histoire (4000 ans d’histoire) et de religion de ce pays. Ce
qui est remarquable avec ce livre c’est l’humour, le flegmatisme avec
lequel <strong>Delisse</strong> appréhende ce lieu. Evidement on ne peut
pas dire que ce soit de tout repos pour eux, mais cela nous permet, à
nous qui sommes confortablement installé dans nos fauteuils, de
parcourir 1 an de vie de cette famille dans un lieu pesant et qui reste
malgré tout dangereux…</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: small;">
</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: small;">C’est avec un grand plaisir que j’ai lu cette BD, une très belle
chronique, de part les dessins mais aussi par le ton du livre, pas la
vision de cet artiste qu’est <strong>Delisle</strong>. Si vous souhaitez vous plonger dans Jérusalem sous la vision d’un dessinateur n’hésitez pas, <strong>Chronique de Jérusalem</strong> est fait pour vous ! Ce livre a obtenu le Fauve d’or d’Angoulême, <a href="https://www.youtube.com/watch?v=RpzDokXkDpw" target="_blank">prix du meilleur album 2012.</a></span></span></div>
<br />
<br />tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-39876458285409836432019-12-13T10:24:00.000-08:002019-12-13T10:24:01.680-08:00Chronique : Le journal de Katie Sutton de Jenny Smith<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSLZ3w1aFCHI_eQzlHiY5Xj2qBHDzEzJkXufWbg9xB_1fvLypae8JjpNGkTfEOZSaaNrSGXlokj_4HsesnrtIu81xgFx73sUdGllc_XknBqoM1frgRLQM1KAwhSszouOSjoDcLNXMBTpKV/s1600/journal.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="457" data-original-width="306" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSLZ3w1aFCHI_eQzlHiY5Xj2qBHDzEzJkXufWbg9xB_1fvLypae8JjpNGkTfEOZSaaNrSGXlokj_4HsesnrtIu81xgFx73sUdGllc_XknBqoM1frgRLQM1KAwhSszouOSjoDcLNXMBTpKV/s1600/journal.JPG" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
Le journal de Katie Sutton est pour moi un réel coup de cœur ! J’ai adoré, ce livre frais, beau, rythmée… </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un livre frais, vraiment dans l’air du temps. Je pense que l’auteure a pioché des idées de sa vie réel, pour construire ce roman, ce qui apporte une nouvelle dimension. J’ai adhéré aux personnages que j’ai trouvé caricaturaux mais aussi très réels. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Seul petit bémol : le livre est en faites un journal intime mais l’écriture est un peu trop romancé pour un journal (je ne pense pas que l’héroïne écrirait comme ça dans la vrai vie.) Ce livre a presque réussi à me faire pleurer…
A la vue de la couverture je me suis dit … heu … je vais devoir lire ce livre ?! Je l’ai lu rapidement et vite car je l’ai reçu en Épreuves Non Corrigées. Et puis une fois lu … </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour ma part, elle m’a un peu rassuré car l’ado m’a beaucoup plus … elle m’a attiré vers le livre. Mais je l’ai trouvé très très rose et donc très girly alors que le livre en lui-même n’est pas que pour les filles et s’adapte très bien aux gars ! </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Le but de ce livre, c’est que Katie Sutton, experte mondiale en parents, nous aide avec son guide sur les parents. Chaque nouveaux jours/chapitres, K. Sutton nous présente un mode que peuvent avoir nos parents en nous expliquant comment il peut arriver à être dans ce mode ? Comment se manifeste le mode ? Que se passe t-il dans ce mode ? Dans quel mode peut basculer l’adulte ? Ces paragraphes en gras sont très intéressants et anime bien le roman!
Un autre point très positif dans ce roman, ce sont les personnages. Je les ai trouvé très caricaturaux mais très réels comme des personnes que l’ont pourrait connaître ! Ils ont tous quelques choses de différents qui les différencies beaucoup les uns des autres mais qui les rapproche grâce à l’histoire. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un de mes personnages préféré est Eliott, l’enfant surdoué qui raconte toujours ce qu’il sait, mais qui enfaites ne sait que des choses inutiles. On voit pendant le roman qu’il s’ouvre au monde extérieur, qu’il sort avec des filles ect… La mère de Katie c’est un peu : la maman aléatoire. On ne sait jamais ce dans qu’elle mode elle sera. Mais elle a de bon côté et je trouve qu’elle sait être proche de ses enfants et de sa fille plus particulièrement.
Ce livre est très émouvant car l’histoire qui est raconté (je ne vous en dirais pas plus) aurait pu se passer avec l’un d’entre nous ! Cette histoire de mère divorcé qui veut se remettre avec quelqu’un d’autre mais que ces enfant n’acceptent pas, c’est quelque chose de très courant.
Même si on ne l’a pas vécu, on peut s’identifier facilement à cette histoire car on a déjà été confronté à ce genre d’histoire. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mon seul petit bémol pour ce livre, c’est que le journal intime est trop romancé par rapport à un journal intime… j’ai trouvé ça un peu dommage. Ce lire m’a aussi beaucoup fait rire, c’est une bouffé d’oxygène ! </div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-6994139624739682042019-11-08T11:28:00.000-08:002019-11-08T11:28:06.447-08:00avis sur Une scandaleuse affaire d' Anita Shreve<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjLTUMaY1MhJfIXoRmVvxzgoKe9516yLAbONKXt3Adju6wNdpeCjG89TTSZWEiSt7e0wbQt1ozW6tdtg76_9FWXlvWxXAMhmTgInvJm3uSIWEiU8qaEt-M94P_21eNxylFCU665vVVhrHp4/s1600/affaire.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="325" data-original-width="209" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjLTUMaY1MhJfIXoRmVvxzgoKe9516yLAbONKXt3Adju6wNdpeCjG89TTSZWEiSt7e0wbQt1ozW6tdtg76_9FWXlvWxXAMhmTgInvJm3uSIWEiU8qaEt-M94P_21eNxylFCU665vVVhrHp4/s1600/affaire.JPG" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
Une scandaleuse affaire d' Anita Shreve. Un livre dans l'air du temps en cette rentrée, en ces temps d'intégrations, de tonus, de fêtes pour les nouveaux étudiants.
Nous voudrions protéger nos enfants de tout et de tous. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mais à un moment de leur vie, ils prennent leur envol, ils rencontrent d'autres jeunes, d'autres adultes, font des expériences pas toujours réussies. Anita Shreve va brosser un portrait au vitriol des dérives d'une fête étudiante, et nous faire toucher du doigt les dégâts que peuvent provoquer des comportements d'adultes sur les ados. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Elle nous emmène au paroxysme de l'horreur, au bout du scandale et de la culpabilité.</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-19652854772383536102019-10-02T11:26:00.000-07:002019-10-02T11:26:00.126-07:007 ans après, de Guillaume Musso<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4eLDeuN1y4w2uFQI_9fXih_jknOSMR6gL48mh_vQpxWr5lBnP3KLibKAg7k4HG4i6DZ5gi-q3rF3MSZXUOyc1LvYZv5A7gFLSGtChHY1KC_ymMiWM2YYkNtaJq7cHXztnC-1PgjAN7O72/s1600/musso.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="471" data-original-width="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4eLDeuN1y4w2uFQI_9fXih_jknOSMR6gL48mh_vQpxWr5lBnP3KLibKAg7k4HG4i6DZ5gi-q3rF3MSZXUOyc1LvYZv5A7gFLSGtChHY1KC_ymMiWM2YYkNtaJq7cHXztnC-1PgjAN7O72/s1600/musso.JPG" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
Je ne suis pas une inconditionnelle de <b>Musso </b>et je le confonds souvent avec Lévy. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Si vous m'interrogez quelques semaines après la fin de la lecture, je suis incapable de vous donner le titre du livre et quelquefois je me mélange les pinceaux entre ceux que j'ai lu.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mais Musso a tendance à me captiver. Quand je mets le nez dans un de ses romans je le dévore.
7 ans après est une histoire de famille. Un divorce, deux enfants (des jumeaux). Pas très futés les parents les séparent, la fille reste chez papa, alors que le garçon va avec maman. </div>
<div style="text-align: justify;">
Les enfants se croisent plus qu'ils ne vivent ensemble.
Jusqu'au jour où... Jérémy disparait. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Afin de conjuguer leurs efforts pour le retrouver les parents vont collaborer et essayer de s'entendre pour retrouver leur fils, dans une course qui les emmènera de New-York à Paris.
On se laisse emporter. Mais la fin m'a laissé sur ma faim, trop convenue, elle manque de caractère. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Par ces temps automnal, vautrée dans le canapé 7 ans après vous fait oublier le temps.</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-8247803571974461732019-09-06T11:41:00.000-07:002019-09-06T11:41:00.344-07:00Editions saphira : que seront l'écriture et l'édition de demain ?<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhiX7V-Hbwl443t-DdxbQFK9mfKIJR_eTve2TLgcZ-dQVhkWi4n26IBGMEelPbtWUedfu2GJXYLUdvVnhGdTifgjP_dXvItm-whTgvfdfKd1FiEsuXT6Tk3gssWn8sBntsMcJU0C-Qcenvt/s1600/ebook.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="529" data-original-width="496" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhiX7V-Hbwl443t-DdxbQFK9mfKIJR_eTve2TLgcZ-dQVhkWi4n26IBGMEelPbtWUedfu2GJXYLUdvVnhGdTifgjP_dXvItm-whTgvfdfKd1FiEsuXT6Tk3gssWn8sBntsMcJU0C-Qcenvt/s320/ebook.JPG" width="300" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
C'est le titre d'une rencontre à laquelle j'ai pu participer avant la rentrée des livres en compagnie de lectrices et d'éditeurs comme <b>les éditions saphira</b> ( voir <a href="https://www.editions-saphira.com/">https://www.editions-saphira.com</a> )à l'université de Montpellier III.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Le rapport entre livre et numérique n’a jamais été autant d’actualité : multiplication de nouveaux supports de lecture sur écran (Kindle d’amazon, liseuses de Sony, Nook de Barnes & Noble, iphone …), développement du papier électronique, débat sur la numérisation des fonds de bibliothèques, apparition de nouveaux éditeurs défricheurs du numérique, débat sur le droit d’auteur et le livre numérique …
Autant de sujets qui montrent qu’à l’instar de la musique, le livre devient un enjeu majeur sur Internet que ce soit sur le support (le livre électronique), le contenu (le livre numérique) et de ses pratiques (lire et écrire en numérique).</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b>L'actualité sur le livre et le numérique</b></div>
<div style="text-align: justify;">
Lecteurs que nous sommes, avons-nous changé nos habitudes et nos pratiques depuis que les articles condensés en lien hypertextes et les messages sur twitter sont devenues à la mode ? Sommes-nous capables de lire d’un trait un texte deux fois plus long que la hauteur de mon écran ?</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un article du site Actua Litté nous prédit la fin du prêt en bibliothèque et sa résurrection possible par les liseuses électroniques :
Des années. Et plus encore. Des années que les adhésions aux bibliothèques publiques sont en déclin, et que l'on redoute le jour où plus personne ne les fréquentera, ni n'empruntera de livres.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Nous ne sommes qu’aux prémisses de cette mutation de la lecture qui combine l’écrit, l’ouverture et le rebond via le lien, la complémentarité et l’interactivité via le multimédia et le commentaire.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Comme le précisait <b>François Bon</b> dans un article de son <b>Tiers Livre </b>(lire <a href="http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article1413" target="_blank">numérique une régression ?</a>) : on lit différemment et Internet est à jamais le royaume de l’écrit.</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-77927810516535160772019-08-22T11:21:00.000-07:002019-08-22T11:21:06.538-07:00lectures de retour de vacances<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc7VHgAVIsG6-4HiGm-4MdS9zmQWO7OAeHR3BCsZGPYdXqu7sfhwWaeXPwdCEwPdh6Gbf3Zn9WxEdoT4saK0RmMj8NbRjEptSwLjzlh6WjvcVZL1tLW5Yi1ArvsN6RiwMx7p9XntxiCABd/s1600/vacances.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="398" data-original-width="592" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc7VHgAVIsG6-4HiGm-4MdS9zmQWO7OAeHR3BCsZGPYdXqu7sfhwWaeXPwdCEwPdh6Gbf3Zn9WxEdoT4saK0RmMj8NbRjEptSwLjzlh6WjvcVZL1tLW5Yi1ArvsN6RiwMx7p9XntxiCABd/s1600/vacances.JPG" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
'ai lu le premier tome de Percy Jackson. Je ne l'ai pas vraiment apprécié, je ne me lancerai donc pas dans la suite. C'est la même chose pour La Couette de l'oubli, <a href="http://lazonelibre.eklablog.com/le-donjon-de-naheulbeuk-tome-1-saison-3-a27586596">roman du Donjon de Naheulbeuk</a> (que je n'ai même pas réussi à terminer) de même pour Rose Aimée de Béatrice Bottet, Le cas Jack Spark de Victor Dixen ou encore Les hauts conteurs, de Patrick McSpare & Olivier Peru.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Même si j'ai passé un bon moment de lecture (enfin, un moment de lecture rigolote) avec le<a href="https://rexlit.wordpress.com/2012/04/15/queen-betsy-tome-1-vampire-et-celibataire-de-maryjanice-davidson/"> premier tome de Queen Betsy, de MaryJanice Davidson</a>, je ne pense pas continuer l'aventure. Un, c'est bien, mais finalement je ne trouve pas que cela ait un grand intérêt</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
'ai aussi abandonné l'une des trilogies de Mercedes Lackey, La trilogie des vents (T1, T2). Je n'ai pas accroché avec le 2ème tome que j'ai abandonné au bout d'un moment.
J'ai aussi lu le dernier tome d'Elric, co écrit par Michael Moorcock et Fabrice Colin, mais je ne suis pas certaine de lire les tomes précédents.</div>
<div style="text-align: justify;">
Les personnages trop torturés, ça me passe au dessus de la tête. </div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-80769560228633131242019-08-08T11:17:00.000-07:002019-08-08T11:17:00.160-07:00Quelques livres pour l'été à la plage<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhBO7Fg0bA4Gpoqa4lmah90ItAUPKPYRK3xml1VnkJgFYAZOxdJwjnLlHJaUzBzKz52ZCSRzulNkzkcpVnG_J-I0evIO4-9vCAsUifHe_MVpdsk9OIYeZiAipQ675Fit1nLGj_DihyphenhyphenUz42w/s1600/livres-ete.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="405" data-original-width="614" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhBO7Fg0bA4Gpoqa4lmah90ItAUPKPYRK3xml1VnkJgFYAZOxdJwjnLlHJaUzBzKz52ZCSRzulNkzkcpVnG_J-I0evIO4-9vCAsUifHe_MVpdsk9OIYeZiAipQ675Fit1nLGj_DihyphenhyphenUz42w/s1600/livres-ete.JPG" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<a href="https://auroraclerc.com/entree-oeuvre-incontournable/">La Horde du contrevent, d'Alain Damasio</a>. Ce n'est pas tout à fait vrai en fait ... Je n'ai toujours pas lu ce livre. Je l'avais entamé il y a une année et je n'arrivais absolument pas à suivre l'histoire et à l'assimiler. Du coup, j'ai abandonné avant de me pourir totalement ce livre. </div>
<div style="text-align: justify;">
Le soucis, c'est que je n'ai entendu que des échos positifs sur ce livre, et d'après ce que j'ai lu, je ne suis pas sure d'apprécier ... </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Du coup, j'ai une peur bleue de me jeter dans ce livre, car je suis persuadée que je ne vais pas l'aimer.
</div>
<div style="text-align: justify;">
<a href="https://www.blogger.com/abrrracadabra.canalblog.com/archives/2019/01/02/36980268.html">Le cycle des Princes d'Ambre, de Roger Zelazny</a>. J'ai voulu lire ce cycle suite aux avis positifs quasiment unanimes que j'avais lus. Encore une fois, c'est raté pour moi ! J'ai quand même lu trois tomes, alors que dès le début ça ne me plaisait pas plus que cela, mais j'avais envie de voir si ça allait mieux par la suite. Absoluement pas, je prenais de moins en moins de plaisir à lire. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<a href="https://mypublicstuff.wordpress.com/2015/08/18/le-cas-jack-spark-saison-1-ete-mutant-de-victor-dixen/">Le cas Jack Spark, de Victor Dixen</a>. Je suis totalement passée à côté de ce roman, alors que je n'en avais lu QUE des chroniques positives. Je ne sais pas si je l'ai lu à une mauvaise période ou si le livre ne me convient pas, car je lui reconnais pas mal de qualités, mais ça n'est pas passé</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-7244011429381594072019-07-05T10:43:00.000-07:002019-07-05T10:43:00.566-07:00J'ai lu : Autant en emporte le vent !<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiclUJe6D2mRQTYKQv04VDNwQc4PLqmWbh9xZiEPQKDD1jnB1wZ4L7s_PEMRef5mKGoDAN0a03A1xO9E2Akx_oBjiQc6Wz-ujb-TD1kdC8SAKwMIHQh7glLeOfRSHHx1AgGcs8mMnEj6HYD/s1600/vent.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="305" data-original-width="202" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiclUJe6D2mRQTYKQv04VDNwQc4PLqmWbh9xZiEPQKDD1jnB1wZ4L7s_PEMRef5mKGoDAN0a03A1xO9E2Akx_oBjiQc6Wz-ujb-TD1kdC8SAKwMIHQh7glLeOfRSHHx1AgGcs8mMnEj6HYD/s1600/vent.JPG" /></a></div>
C'est un livre qui m'a emportée! J'adore le personnage de Scarlett et celui d'Ashley Mills (je crois que c'est ça XD).<br />
<br />
J'ai relu et relu cette histoire des centaines de fois. Et on va dire que cette femme est un peu ce que j'ai toujours rêvée d'être : Belle et elle le sait et elle en joue, travailleuse, courageuse, égoiste mais pourtant elle se cache derrière cette carapace.<br />
<br />
Elle aime la vie et elle représente la vie dans ce monde ou les femmes sont insipides et suivent les hommes comme des toutous!
En bref, j'ai récemment vu le film (que je n'avais jamais eu le temps de voir) et il est très fidèle au livre (malgré quelques passages enlevés et quelques personnages aussi comme le fils de scarlett et Charles...) .<br />
<br />
J'ai adoré l'actrice de Mama ! Et celui de Rhett par contre j'ai été très déçue par celui d'Aschley!
Voilà je vous invite à découvrir cette sagatiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-45188725609490919112019-06-12T10:21:00.000-07:002019-06-12T10:21:19.118-07:00livre : La sélection de Kiera Cass <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDjNTev0cmGDrHOyCfpjK5ozwTtY1t3JFnMkvVRLXTPLkZtCi37lCHyld0OJ_Ja7Z3hqgHzshR3wgNr6w2eSbtdlaZRENZfMk08DARJ1BX-DYvqK-zHcd9QQGobB-M0mJByuzjjoVlmOK0/s1600/kiera.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDjNTev0cmGDrHOyCfpjK5ozwTtY1t3JFnMkvVRLXTPLkZtCi37lCHyld0OJ_Ja7Z3hqgHzshR3wgNr6w2eSbtdlaZRENZfMk08DARJ1BX-DYvqK-zHcd9QQGobB-M0mJByuzjjoVlmOK0/s1600/kiera.JPG" data-original-width="291" data-original-height="483" /></a></div>On entre tout d’abord dans un monde futuriste, qui ressemble par son organisation, à un pays du Moyen-Âge. Je nommait précédemment cette ville un peu moyenâgeuse car les classes sociales des différentes personnes s’organisent en caste : de 1 (la famille royale qui gouverne en monarque) à 8 (les sans domiciles fixes ect…). Nous apprenons que ce monde, fait de caste, avait vu le jour après 4 guerres mondiales qui avait détruit les États-Unis, s’appelle Illéa. Dans ce monde, une téléréalité existe qui à pour but de choisir la nouvelle reine et marier le prince. J’ai beaucoup aimé l’histoire que j’ai trouvé très cohérente d’un bout à l’autre de l’histoire. Ce qui m’a plus c’est que cette histoire soit fixée à notre histoire en reprenant l’histoire des 1er et 2nd guerres mondiales.
La gamme de personnages est assez petite car toutes les candidates sont un peu vaniteuses ; sauf quelques unes d’entre elles. J’ai beaucoup aimé le personnage principal, America, car elle a sut se montrer très nature lors de la Sélection. Ce côté nature à sut, je pense, faire la différence. J’ai aussi beaucoup aimé le caractère de Maxon car il a un caractère sombre et effacé au début. Puis au fil de la relation, il devient de plus en plus sympathique. Il se déride au fur et à mesure de la Sélection. J’ai beaucoup apprécié !
J’aime beaucoup le style de l’auteure car il est simple. Mais très très expressif et donc grâce à ça on peut ressentir tous les sentiments que ressent les personnages. De plus, j’ai beaucoup aimé les réflexions intérieurs d’America. J’ai trouvé que certaines réactions étaient un peu spéciales par contre… J’ai beaucoup aimé la couverture, car elle illustre bien l’esprit de la Sélection. Les reflets dans les miroirs montrent bien l’esprit que tous les personnages essayent de se montrer.
De plus, j’aimerais beaucoup remercier la collection R pour tous ce qu’ils font comme supers livres. tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-63906879792838591662019-05-01T10:41:00.000-07:002019-06-12T10:41:47.361-07:00lire : Dehors les chiens, les infidèles de Maia MAZAURETTE <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTDmb9t75CQlAKGPRdHwqoFGufMwMqwZBRvKpMnAVdq6m8lQs0sPFqAGoOk9SF2dXpCwaAsxumR3NBAyhPyDTzEukkFi4n9djofzDmkSQ89dgFvKcBhMDDZdFg6b5WkoX8QH1bIfvPJUtC/s1600/mazurette.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTDmb9t75CQlAKGPRdHwqoFGufMwMqwZBRvKpMnAVdq6m8lQs0sPFqAGoOk9SF2dXpCwaAsxumR3NBAyhPyDTzEukkFi4n9djofzDmkSQ89dgFvKcBhMDDZdFg6b5WkoX8QH1bIfvPJUtC/s1600/mazurette.JPG" data-original-width="196" data-original-height="306" /></a></div> Je vais d'abord commencer par ce que je n'ai pas aimé. Il y en a beaucoup malheureusement.
Tout d'abord, la religion est omniprésente et j'ai trouvé cela tellement extrême à certains moments que j'avais envie d'arrêter ma lecture. La représentation de la religion à un nom : Astasie, une des quêteuses, elle est une Inquisitrice et croit que Dieu habite en elle. Elle est énervante, hautaine, exaspérante et trop sur d'elle et de son physique. Je ne l'ai pas aimé dès le départ, elle remet en cause la place de "l'héroïne" Spérance, qui est Guide. Cette fille est pour moi le contraire de ce qu'elle prétend, elle justifie ses actes par le fait que c'est Dieu qui lui dicte, tout à fait le genre de personne qui se déculpabilise facilement grâce à la religion. Pourtant elle va être considérée comme une Sainte tout au long de l'histoire est cela m'a franchement saoulée! De plus, la religion guide tous les personnages et elle fait partie de l'histoire, moi, je pense qu'on aurait pus s'en passer...
Ensuite, l'histoire est intéressante mais je trouve la façon dont les personnages se comportent parfois franchement déroutantes. Un coup je me dit que c'est bon les gentils vont gagner mais soudain les gentils deviennent méchants et réciproquement. Je n'ai jamais su quoi penser des personnages et cela est souvent agaçant. De plus, je n'ai jamais pus me prendre d'affection pour l'un ou pour l'autre car à un moment ou à un autre ils vont commettre des actes qui selon moi ne sont pas en rapport avec l'idée que je me faisais d'eux. Je les ai tous trouvés pas assez travaillés et développés. On dirait qu'ils ne sont pas complet.
Enfin, les évènements en eux-mêmes sont précipités et parfois je me suis retrouvées perdue. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait alors que j'avais bien lus les chapitres précédents.
A présent, j'ai apprécié l'histoire car elle est prenante et j'ai eu envie de savoir la suite. J'en avais tellement envie que je ne pouvais lâcher le livre même si je me disais que j'arrêterais au prochain chapitre. C'est vraiment un fond d'histoire intéressant, le monde et la trame de fond sont bien travaillés et c'est souvent pleins de rebondissements. Plusieurs fois j'ai été surprise même si ce n'étais pas toujours dans le bon sens. J'ai quand même était surprise!
Je pense que c'est un livre à lire mais il faudra vraiment faire abstraction de ces mauvais éléments qui rendent parfois la lecture laborieuse. En bref, je pense qu'il faut vraiment avoir envie de lire ce livre.
Si vous voulez commencer la fantasy ne prenez surtout pas ce livre car vous serez sûrement dégoûté. Ce serait dommage car la Fantasy vaut le coup! tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-24738951888770502422019-03-22T10:29:00.000-07:002019-06-12T10:31:10.075-07:00Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEip_iGkwqCS6DU9NSlRkcz6sPCUt9wtNi1XAqz1UPGQBOSaHEt8JqUIg4Fm6Kbhg8XTO-hxrH8a-dI2Zce7fH9VncWUYexwoQjUA3tvIjLDjyimZjsXlGhuTPHqTR6rnNd_VVzatGu8KiVM/s1600/hugo.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEip_iGkwqCS6DU9NSlRkcz6sPCUt9wtNi1XAqz1UPGQBOSaHEt8JqUIg4Fm6Kbhg8XTO-hxrH8a-dI2Zce7fH9VncWUYexwoQjUA3tvIjLDjyimZjsXlGhuTPHqTR6rnNd_VVzatGu8KiVM/s1600/hugo.JPG" data-original-width="268" data-original-height="549" /></a></div>Hugo utilise le langage diplomatique et politique pour convaincre le lecteur d'adhérer à cette ignominie, à cet acte choquant qu'est la mort.
On suit, petit à petit, les aventures et la pensée du dernier jour d'un condamné. Le lecteur est assimilé à lui et il est convaincu, au fil du texte, que la condamnation à mort ne règle rien. Tout est fait pour que ce texte fasse prendre conscience de la gravité de la chose. On a un texte simple, sans fioriture (texte très court) mais qui nous émeut, qui nous touche.
D'ailleurs, ce texte a joué un rôle fondateur important face à la suppression de la peine de mort.tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-64064568472015182322019-02-08T05:05:00.000-08:002019-02-08T05:05:09.551-08:00Une parfaite chambre de malade de Yôko Ogawa
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9jd5zZCqidhlkuK2IXb3PxJnYMVx-YhUyfIJ9QLTv7NVfP7e2PM08qFhwdYpN3v8I46buArDtkeGqpaxEfgi-i7lDN4UHaWEFEy2cHncqADWXrdCbjRtlCJ3yrJvu2EOIsFhYkNW1LyCd/s1600/YOKO.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="465" data-original-width="290" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9jd5zZCqidhlkuK2IXb3PxJnYMVx-YhUyfIJ9QLTv7NVfP7e2PM08qFhwdYpN3v8I46buArDtkeGqpaxEfgi-i7lDN4UHaWEFEy2cHncqADWXrdCbjRtlCJ3yrJvu2EOIsFhYkNW1LyCd/s320/YOKO.jpg" width="199" /></a></div>
<div style="margin-bottom: 0cm;">
<em>Une parfaite chambre de malade</em>
: Deux courts romans (ou deux longues nouvelles), un plaisir de
lire.<br /><br />On suit d'abord une jeune femme dont le frère tombe
gravement malade et dont l'issue est fatalement certaine.<br />Dans <em>La
Désagrégation du papillon</em> on suit une autre jeune femme qui
doit mettre sa grand-mère avec qui elle vivait, en maison de
retraite à cause de la démence sénile dont celle-ci souffre.</div>
<br />
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
Deux histoires, un thème
et une ambiance bouleversants. Avec cette écriture toujours aussi
paisible mais qui porte en elle des sujets terribles et qui remuent
le lecteur. (Mais comment fait-elle ?)<br />Au final les deux histoires
se mêlent, se ressemblent, se complètent parfaitement. Car les
points communs abondent entre ces deux situations. La
Désagrégation du Papillon va peut-être plus loin dans
"l'abstrait".<br /><br />Ce ne sont pas de ces histoires où
les péripéties et retournements de situation n'arrêtent pas.
Je ne sais pas si je me souviendrai de tout ce qui se passe dans ces
nouvelles. En revanche, il restera une ambiance, un univers. La
maladie, l'absence, l'oubli, la souffrance sont comme murmurés à
l'oreille du lecteur. Ce qui n'empêche pas la présence d'une note
plus dure voire dérangeante.<br /><br /><a href="http://www.rfi.fr/emission/20180429-romanciere-japonaise-yoko-ogawa" target="_blank"><b>Yôko Ogawa</b></a> est vraiment un
auteur à découvrir, elle a ce petit "truc" qui fait les
grands écrivains.<br /><br />Pas de longue critique cette fois, il
suffit de lire et se laisser porter par la puissance de cette
écriture !
</div>
<br />
<i><b>Une parfaite chambre de malade de Yôko Ogawa Actes sud.</b></i>tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-91429780800587787492019-01-12T04:57:00.000-08:002019-01-12T04:57:00.470-08:00Jungle de Jean-Sebastien Zahm
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL0zHLB9mzHNKwGsld7xEgYz67B9H4C-BaqecBBuvspjr0XxsVF_etX8PiUx88-H7ILZd7kEa4_R2dMfZ6hIVc24yHqoYt5JlhRN02muPcZKgWqJbuVVCJgoVdoMnS4FWSftM-1r3WZNUy/s1600/jungle.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="470" data-original-width="282" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL0zHLB9mzHNKwGsld7xEgYz67B9H4C-BaqecBBuvspjr0XxsVF_etX8PiUx88-H7ILZd7kEa4_R2dMfZ6hIVc24yHqoYt5JlhRN02muPcZKgWqJbuVVCJgoVdoMnS4FWSftM-1r3WZNUy/s320/jungle.jpg" width="192" /></a></div>
<div align="JUSTIFY">
Colin a une vie compliqué car il vit un peu seul,
son père étant plus souvent en brousse pour travailler qu’à la
maison. Colin n’est pas seul pour autant puisqu’à la maison se
trouve Fatou, une belle jeune Femme Africaine qui est aussi la
maitresse de son père. Colin partage beaucoup de moment et de
confidence avec Luc, son copain. Les deux amis sont en vacances et
profitent de la vie Africaine. Certains matins ils se lèvent à 6
heures pour voir les jolies africaines prendre leurs bains à la
rivière …toute nue….</div>
<div align="JUSTIFY">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY">
Les relations sont tendues entre Colin et son père.
Son père est l’image même que l’on peut se faire d’un
baroudeur. Imaginez le, grand avec des cicatrices, costaud, dur.
Lorsque le père reviens de son boulot c’est un peu la débauche
…il file a la paillote et profite d’une soirée bien arrosée. Un
soir colin va voir son père à la paillote et on découvre un
univers plus sordide ou le père et le fils en viennent aux mains. Le
fils reproche au père de ne jamais être présent et même pire, de
ne pas jouer son rôle de père. Les relations sont compliquées et
violentes entre ces deux personnages. Ce roman est bien écrit et,
ceux qui ont déjà vécu en Afrique de l’ouest vont surement se
replonger dans cet univers particulier que l’auteur à su décrire
à merveille.</div>
<div align="JUSTIFY">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY">
C’est un roman qui tient vraiment en haleine et on
se prend d’affection pour Colin. Pour ceux qui connaisse un peu
l’Afrique, lisez-le, pour les autres découvrez cet univers
envoutant, la douceur d’un fleuve, la beauté des paysages et cette
splendide nature !</div>
<div align="JUSTIFY">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY">
<i><b>Jungle de Jean-Sebastien Zahm, L'Harmattan </b></i></div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-24593363964755450942018-12-14T04:48:00.000-08:002018-12-14T04:48:03.918-08:00La vérité sur l'affaire Harry Quebert - Joël Dicker
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTY_XY2TAlznDksTGHZjBJgHBQiVs4-ONIrVL1t6g6i3d4qCLTk0CrmLks-DK5EhiLO_3kCzGMavzngKZJws1k4xM67qZOEZGh9yR52-zsqbcCqNGE166E5Jtw_HyVbBiiIGIRWxxiMVQa/s1600/affaire.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="317" data-original-width="215" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTY_XY2TAlznDksTGHZjBJgHBQiVs4-ONIrVL1t6g6i3d4qCLTk0CrmLks-DK5EhiLO_3kCzGMavzngKZJws1k4xM67qZOEZGh9yR52-zsqbcCqNGE166E5Jtw_HyVbBiiIGIRWxxiMVQa/s1600/affaire.jpg" /></a></div>
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Marcus Goldman a été au centre de toutes les
attentions médiatiques après le <a href="https://www.letemps.ch/culture/livre-baltimore-beau-vrai" target="_blank">succès de son 1er roman</a>.
Mais le voilà atteint de la maladie redoutée de tous les écrivains
: le syndrôme de la page blanche. Comment retrouver l'inspiration,
comment trouver les mots qui feront son prochain chef-d'oeuvre ?
C'est dans cet état d'esprit qu'il retrouve son ami et mentor,
l'écrivain Harry Quebert qui a connu un succès retentissant
plusieurs années auparavant avec son livre "Les origines du
mal"; ami qui va se retrouver au coeur de la tourmente, accusé
d'avoir assassiné une jeune fille de 15 ans. Marcus va en apprendre
beaucoup sur Harry, sur les habitants d'Aurora, leurs relations,
leurs secrets, jusqu'à découvrir la vérité sur l'affaire Harry
Quebert. </div>
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<br /></div>
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J'ai commencé ce livre il y a 7 jours et depuis, je
ne l'ai pas lâché ! 670 pages que j'ai littéralement dévorées !
J'ai trouvé ce roman superbement bien construit. Pas un instant, je
me suis ennuyée, pas un instant je ne l'ai trouvé long. En général,
je n'aime pas les multiples rebondissements car je trouve que cela
finit par perdre en crédibilité, mais dans ce roman, ils sont bien
amenés, ils sont justifiés. Même quand on a l'impression d'avoir
atteint le but, on a toujours le sentiment que quelque chose cloche,
que cela ne peut pas se finir ainsi. </div>
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<br /></div>
<div align="JUSTIFY">
Les aller-retour entre le moment présent et les
moments passés nous éclairent petit à petit sur les personnages,
leurs relations, leurs secrets. J'adore ces petites villes où
personne ne sait rien mais tout le monde sait quelque chose !</div>
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<br /></div>
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</div>
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<br /></div>
<i><b>La vérité sur l'affaire Harry Quebert - Joël Dicker Editions de Fallois (août 2012)</b></i><br />
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</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2560735439035971412.post-63794965174254765042018-11-27T13:02:00.001-08:002018-11-27T13:02:15.873-08:00Fablehaven - La Menace de l’Etoile du Soir de Brandon Mull
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj6EBEbsLM5QYa21kIj00eO0DUgJBdcukCAUgyup5_hWBwY_qsGu-pcVYMRoELYb-t6v85zbmqNc1iqKQLMnx3FA_Z1UgLKRcUUglpLa-BVAD3fVP-cxKRCWoN8B6qmoFPV4oOh2qNWHQ5/s1600/etoile.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="417" data-original-width="257" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj6EBEbsLM5QYa21kIj00eO0DUgJBdcukCAUgyup5_hWBwY_qsGu-pcVYMRoELYb-t6v85zbmqNc1iqKQLMnx3FA_Z1UgLKRcUUglpLa-BVAD3fVP-cxKRCWoN8B6qmoFPV4oOh2qNWHQ5/s320/etoile.jpg" width="197" /></a></div>
<br />
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Georgia, Times New Roman, serif;"><i>La
Menace de l’Etoile du Soir</i> commence sur les chapeaux de roues !
Nous sommes tout d’abord plongés dans le quotidien de Kendra et de
Seth, jusqu’au moment où se produit un évènement
extraordinaire : non seulement un gobelin fait son apparition
dans la classe de notre héroïne, mais en plus toutes ses amies
tombent en pamoison devant cette créature qu’elles pensent être
le prince charmant. J’ai beaucoup aimé la façon dont tout
s’écroule. Peu à peu, on ne sait plus à qui faire confiance, nos
héros se sentent en danger et n’ont plus qu’une solution :
il leur faut retourner au sanctuaire de Fablehaven. Arrivés là-bas,
ils découvrent que leur grand-père a eu un accident et qu’il
n’est pas le seul membre de la maison auquel il est arrivé quelque
chose. Un traître pourrait être parmi eux. Mais qui ? Le
lecteur est aussi en proie à un suspens quasiment insoutenable et il
n’a qu’une envie : tourner les pages les unes après les
autres pour découvrir la suite des aventures de nos deux
protagonistes, que la narration va séparer. Mais malheureusement,
j’ai trouvé une certaine redite dans ce livre. </span></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="JUSTIFY" style="margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Georgia, Times New Roman, serif;">Des éléments du
premier tome sont exploités à nouveau. De plus, leur quête pour
sauver Fablehaven et les autres sanctuaires de la Société de
l’Etoile du Soir m’a légèrement lassée sur la fin : j’ai
trouvé qu’il y avait un peu trop de rebondissements avant de
parvenir à la conclusion du roman. Mais ce n’est qu’un petit
bémol et, mise à part cela, j’ai beaucoup apprécié cette
lecture. Nos deux héros sont toujours aussi sympathiques et les
personnages secondaires très travaillés. Le texte est très
agréable à lire et nous ne pouvons qu’être émerveillés par
l’imagination de Brandon Mull. De la grande fantasy qui vous
embarque dans un univers qui vous étonnera un peu plus page après
page… </span>
</div>
tiryteuhttp://www.blogger.com/profile/12054052823571992466noreply@blogger.com0